ARCHIVES DE Novembre 1998
Articles du 11 Novembre 1998
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Le plus précieux, dans Husbands, c’est que Cassavetes donne l’impression de ne jamais tomber dans le politiquement correct, l’ironie ou le commentaire, et se maintient toujours dans l’ontologie. Les trois maris de Husbands dépassent les limites de ce qu’est un personnage : la frontière entre les acteurs et les personnages est d’emblée estompée par la […]
Le premier choc musical de votre vie, c’était quand ? Je me souviens d’une émotion fondamentale : le jour où on m’a offert une petite batterie, mon premier instrument. J’étais tout gamin et je ne sais plus très bien pourquoi on m’avait donné ça, mais toujours est-il que je passais mon temps à écouter la […]
Pour pas vu pas pris, Pierre Carles revendique l’utilisation des méthodes d’investigation qu’il stigmatise chez les autres.
Quatre ans après la censure de son reportage Pas vu à la télé, Pierre Carles diffuse enfin en salles <et grâce à un exceptionnel soutien public Pas vu pas pris : le film de l’affaire, à la fois document et comédie. Portrait d’un entarteur médiatique, entre mauvaise foi et bonne conscience.
Vilain petit canard d’Hollywood, Brian De Palma prend un malin plaisir à cracher dans la soupe. Son nouveau film, Snake eyes, est le reflet de l’éternel combat entre un cinéaste visionnaire et l’infinie médiocrité du système. Il peut aussi se voir à la lumière de son enfance marquée par l’affrontement, la trahison et l’éclatement : de Home movies à Snake eyes, son oeuvre est l’une des plus intimes qui soient.
On croyait tout connaître de Marcel Duchamp, artiste spécialiste du passe-passe artistique, du cubisme à Dada. Restait à découvrir sa passion de la compilation. Le musée des Beaux-Arts de Rouen se penche sur son activité à la limite du maniaco-dépressif.