ARCHIVES DE Septembre 1997
Articles du 24 Septembre 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
On a souvent traité Billy Wilder de cynique. On a dit de lui que c’était un grand scénariste et un metteur en scène moyen. Toutes choses qu’Ariane vient démentir avec brio. Ariane n’est sans doute pas le film le plus complexe de Wilder, mais cette comédie sentimentale est très probablement son film le plus enjoué, […]
Cet oncle de Tricky est aussi son cadet de six ans : plus qu’une simple anomalie d’état civil, le réjouissant Finley Quaye pourrait vite s’imposer comme l’une des grandes révélations de l’année avec son album Maverick a strike. Chaloupant, roublard et hautement lascif, il invente le reggae new-age.
Avant d’écrire, Guy Debord fut cinéaste. Homme de l’image en lutte contre les images, sa recherche d’un langage fluide se résout en autoportrait.
L’Ironie du sport textes d’Antoine Blondin mise en scène de Jean Beaucé.
Artistes sans oeuvres, I would prefer not to (Hazan), 156 pages.
Les artistes sans oeuvres font enfin l’objet d’un ouvrage critique. Un éloge paradoxal et terriblement efficace.
Vrais et faux portraits, intérieurs ou paysages stellaires : première rétrospective en France de Thomas Ruff, l’un des chefs de file de la nouvelle photographie allemande.