ARCHIVES DE Avril 1997
Articles du 30 Avril 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Une légende d’hédonisme : The Heavenly Social, le club où uvraient les Chemical Brothers.
Dans la dangereuse périphérie des variétés françaises, Julien Baer s’est construit une drôle de bicoque, à la fois lumineuse et pleine de sombres recoins, où ont été élevées les chansons érudites de son premier album. Un disque où Françoise Hardy papote avec Jean-Pierre Léaud, enregistré loin du Paris natal, dans le Los Angeles de tous les mythes, avec quelques papys rescapés des années Spector.
On ressort enfin en compact une version fidèle à l’esprit originel du monstrueux Raw power des Stooges, inventeur de toutes les affaires bruitistes à venir. Avec un Iggy Pop en génial professeur d’histoire, genèse d’un album qui a ébranlé le rock et inventé une nouvelle forme de mixage : les aiguilles dans le rouge comme affaire de morale.
Depuis que leur premier album, Exit planet dust, a défiguré la techno anglaise et inventé la fusion sans sueur, les Chemical Brothers sont devenus une propriété publique : pillée et vénérée de l’underground au grand public, d’Oasis à U2.
Dans sa jeunesse, Arthur Penn se souciait du cinéma comme de ses premières billes. Pourtant, avec les Sidney Lumet, Robert Altman et autres Sam Peckinpah, il fera partie de cette génération de cinéastes qui marqueront la fin de l’âge d’or hollywoodien à l’orée des années 60.