ARCHIVES DE Mars 1997
Articles du 11 Mars 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Parfaitement kitsch. Deux pin-up et un travelo de Detroit d’une vulgarité exemplaire, fraîchement échappés d’une cabine de routier, chaperonnés ici par un Jon Spencer toujours à l’affût de coups tordus et par le non moins goguenard Mick Collins des Gories. Taillée donc au plus court par des maîtres en la matière, à l’instar de jupes […]
Faussement anodin, le quatrième album des Californiens de Swell est leur plus envoûtant : un triomphal meeting, aérien, entre rage froide et chaude mélancolie. C’est par ses réticences que Swell nous a d’abord conquis. A l’orée des années 90, des hordes de bisons bas des naseaux piétinent les mélodies au nord-ouest des Etats-Unis. Pas trop […]
Sans une impressionnante foi en cette écriture dense et voilée qui fait sa séduisante spécificité, le trio californien Swell aurait pu se dissoudre avant même d’achever Too many days without thinking, son glorieux quatrième album. Mais comme en témoigne ici le discret David Freel, “rien ne vaut un groupe à qui l’on met des claques”. […]
Deux façons de lustrer sa mélancolie : à la soie chez Sugar Plant, au papier de verre chez Rick Boston. Si on avait depuis belle lurette un DJ japonais favori Krush , des coquines Nippones régulièrement fréquentées Cibo Matto , il manquait encore à la collection un groupe traîne-guitare, un Galaxie 500 du […]