ARCHIVES DE Février 1997
Articles du 05 Février 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
La cinéphilie ressemble parfois au dandysme rock : un courant esthétique est défendu parce qu’il échappe aux récupérations de la culture et de l’industrie. Illustration avec Christophe Gans et sa bande qui fondent HK Orient extrême cinéma, revue consacrée au cinéma d’arts martiaux, et HK Vidéo, collection regroupant les maîtres du genre.
A leur première apparition, il y a quelques mois, on pouvait prendre Elysian Fields pour une réponse new-yorkaise, arty et hautaine au psychédélisme sensuel et orageux des Californiens de Mazzy Star. Alors que sort enfin en France leur grandiose premier album, Bleed your cedar, rencontre avec l’atrocement troublante Jennifer Charles, voix tigre d’un groupe faussement sage. Libertine et chaleureuse, elle nous fera visiter son New York privé : bohème et sexuel.
Tout surprend ou émerveille Woody Allen : son destin de cinéaste et son ascension sociale, le cinéma des autres et l’idée que l’on se fait de lui, l’image des riches et le ridicule de tous.
Une femme douce. Nombreux furent les compositeurs russes qui finirent écrasés entre le marteau de l’idéologie et l’enclume de la bureaucratie. La musique de Galina Ustvolskaya est le prolongement d’une force prodigieuse, entièrement mise au service d’une résistance à l’opacité politique comme aux formes conventionnelles. Avec le dégel politique, on pouvait légitimement espérer découvrir dans […]