ARCHIVES DE Décembre 1997
Articles du 17 Décembre 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Un Américain à Paris marque l’apogée du deuxième âge d’or de la comédie musicale hollywoodienne, celui des productions d’Arthur Freed pour la MGM. Les années 30 avaient célébré les arabesques du couple Astaire-Rogers, tandis que les ballets de Busby Berkeley exploraient les nouvelles possibilités d’agencement géométrique offertes par la caméra. Avec Freed et son écurie […]
Manipulateur et grand fan dès qu’il s’agit de musique, Quentin Tarantino donne une nouvelle pertinence à la soul de l’ombre des 70’s avec la BO de son nouveau film.
Après les très beaux La Désenchantée et La Fille seule, Benoît Jacquot ouvre son système de représentations au couple moderne. Le Septième ciel révèle aussi son intérêt ancien pour l’hypnose comme gouffre thérapeutique à la fois drôle et dramatique. L’auteur de cette comédie psychanalytique contemporaine nous dit ce qu’il sait de la jouissance féminine, insiste sur le primat donné aux comédiens, se souvient de Lacan et s’affirme comme un cinéaste très français.
Comment Quentin Tarantino allait-il réagir à l’engouement unanime déclenché par Reservoir dogs et Pulp fiction ? Son statut de réalisateur-star allait-il émousser sa maestria cinématographique ? Il répond enfin avec son troisième film, Jackie Brown, thriller black adapté d’un roman d’Elmore Leonard avec Samuel L. Jackson, Robert De Niro, Bridget Fonda et son fantasme d’adolescent, Pam Grier.
D’Iggy Pop à Pulp, quelques voix admirables ont chanté, sur ordre du compositeur anglais David Arnold, les thèmes historiques de James Bond. Pris au jeu, il signe aujourd’hui la BO des nouvelles aventures pyrotechniques de 007 et joue son meilleur rôle : l’homme invisible, totalement caché derrière ses musiques.
Sans doute l’une des figures les plus déterminantes de l’art contemporain, Bruce Nauman est inclassable tant sa production est riche et diverse. Projection de visages démesurés hurlant dans une salle obscure, figures en néon pornographiques, jeux de mots triviaux et lumineux : l’inventaire non exhaustif de ce qui sera exposé à partir du 15 décembre au Centre Georges Pompidou.