ARCHIVES DE Décembre 1997
Articles du 10 Décembre 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Quelque part entre Tchernobyl et Las Vegas se trouve Lisbonne, ville tellement vieillotte qu’elle en devient mystérieuse. Madredeus éponge depuis dix ans cette fine liqueur mélancolique qui s’écoule le long de ses ruelles cabossées. Admirablement mis en scène sur le nouvel album O Paraíso, leur subtile décoction de fado visite les souvenirs d’un royaume perdu.
Elevé aux leçons strictes des plus belles bibles du rock’n’roll, les jouvenceaux américains de Jonathan Fire Eater sont bien les loups dans des corps d’agneaux qu’annonce leur album, le turbulent Wolf songs for lambs. Un rock cultivé et littéraire, sauvé des eaux tièdes, moderne et tranchant, porté à bout de bras par le stupéfiant Stewart Lupton, une star à l’apprentissage rugueux.
Wong Kar-wai a souvent placé sa ville, Hong-Kong, au coeur de son cinéma. Même quand il tourne le superbe « Happy together » en Argentine, c’est le manque de Hong-Kong et la mélancolie de l’exil qui finissent par manger le film de l’intérieur. Il fallait donc rencontrer ce cinéaste des grandes solitudes urbaines chez lui, sur son terrain, le terreau de ses films.
Charles Harrison et Paul Wood Art en théorie, 1900-1990 (Hazan).
Check up, textes d’Edward Bond, joué et mis en scène par Carlo Brandt.
Sans vouloir l’offenser, à ses débuts, Betty Boop était une chienne. On la découvre en effet en 1930 dans Dizzy dishes, un dessin animé des studios Fleischer, où elle arbore de longues oreilles, une truffe noire et, déjà, ses célébrissimes jambes fuselées. C’est en 1932 seulement, dans Any rags, que sa truffe fond en un […]
Douze artistes contemporains venus des quatre continents : « Delta est une réflexion sur la possibilité pour notre culture de surmonter le nostalgique désir d’unité. »
Autoportrait en icône : artiste transformiste, le Japonais Yasumasa Morimura nous fait son cinéma et incarne les stars du grand écran. Entre farce et tragédie.
Un nouveau lieu vient d’ouvrir à Alfortville, en proche banlieue parisienne, et sous l’égide du metteur en scène Christian Benedetti : on peut y voir Sauvés, premier texte écrit par Edward Bond, en 1971.
Maguy Marin, dont les premiers spectacles tournent encore dans le monde entier, décide d’offrir sa scène et de partager son savoir-faire.