ARCHIVES DE Janvier 1997
Articles du 22 Janvier 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Dès son premier film, Jacques Tati, qui approche alors de la quarantaine, installe la ligne de conduite de son œuvre à venir : un univers très particulier et patiemment installé. Son comique sera toujours le contraire du “easy-laughing” : il ne cherche jamais à forcer le rire du spectateur, mais à obtenir sa sympathie […]
En 1997, David Bowie fêtait à New York ses 50 ans avec quelques copains Lou Reed, Smashing Pumpkins, Frank Black, Sonic Youth, Foo Fighters, Robert Smith ou JD Beauvallet. Nous republions cette interview alors que le chanteur est décédé dimanche, à l’âge de 69 ans.
Trafic, la mirifique revue de cinéma à couverture en papier kraft, sort son numéro 20. Ce qui, pour un trimestriel, fait cinq ans. C’est en montrant des films (dont le sublime et toujours inédit Iguana de Monte Hellman) que Sylvie Pierre, Patrice Rollet, Raymond Bellour et Jean-Claude Biette, les membres du comité de rédaction, fêtent cet anniversaire. Rencontre avec ces trois derniers pour un état des lieux détaillé, fait de sens giratoires et de marques au sol.
La permanence du Mal à travers les siècles observée malicieusement par Iosseliani. Un humour détaché rappelant Tati et un style aussi modeste qu’éblouissant évoquant Godard ou Hergé préservent son Brigands de toute aigreur, de tout moralisme.
Depuis sa naissance dans les années 30 staliniennes, le Géorgien Otar Iosseliani a vécu une existence très romanesque. Musicien, matheux, marinier sur un chalutier, conférencier, cinéaste, bourlinguant de Tbilissi au fin fond de la Sibérie, esprit libre jouant à cache-cache avec les autorités communistes pour finalement s’installer à Paris.