ARCHIVES DE Janvier 1997
Articles du 15 Janvier 1997
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
L’homme des hautes plaines qui s’est éteint le 31 décembre dernier après une vie de bâton de chaise n’était pas une simple antiquité d’un genre mourant de ridicule, la country.
Toujours pas remis de la claque Da funk un synthé pourri en travers de nos certitudes , on attendait le premier album des Parisiens Daft Punk avec fébrilité mais suspicion : un tel foin médiatique ne sert généralement qu’à nourrir les ânes. Alors que le pourtant décevant, monomaniaque et trop vert Homework s’apprête à réaliser la plus grosse campagne française depuis Napoléon, retour sur une invasion qui commence par Manchester et finit par la Terre.
Du banané et inquiet d’Eraserhead au mécano fan de free-jazz de Lost highway, Jack Nance était une figure familière du Lynchland. Le réalisateur évoque son ami et comédien fétiche, décédé le 30 décembre 1996.
Avec Lost highway, David Lynch vient de peaufiner l’une de ses plus belles machines à rêves, un aboutissement de son étrange cinéma pulsionnel, musical et poétique. De quoi se précipiter à la rencontre de Lynch en son jardin pour deux heures de conversation où le père de Twin Peaks parlera de son enfance, de ses rêves et de ses obsessions, refusant de théoriser son uvre. Pour ne pas rompre la magie.
Les impressions de Barry Gifford, auteur de Sailor & Lula et aujourd’hui acolyte de Lynch dans la construction à quatre mains de Lost highway.
Dans Lost highway, on retrouve tout le cinéma de David Lynch : les corridors sombres d’Eraserhead, les gazons de Blue velvet, les pulsions inavouables de Twin Peaks, les clichés détournés de Sailor & Lula…