ARCHIVES DE Juin 1996
Articles du 12 Juin 1996
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Une conversation avec Arnaud Desplechin ressemble à une longue plongée dans les recoins de son cerveau en suractivité, un prolongement naturel de son uvre. La parole du cinéaste rejoint ses films dans une même densité de sens et de questionnement entrelacés, une ouverture béante vers le romanesque et le philosophique, un mélange constant de sérieux et d’ironie, d’érudition élégante et de pensées étranges.
Six acteurs donnent leur vision.
Il voyage en compagnie. Hommage cuménique ou itinéraire initiatique ? Plus on tente de percer l’énigme Manset, plus le mystère s’épaissit. A la vision du casting de cet album-hommage, on ne s’évanouit pas de plaisir. A la première écoute, notre moue se confirmerait même : on ne décèle pas de “grands moments d’émotion” - comme […]
Grâce au distributeur Jean-Pierre Jackson, on avait pu découvrir en copies neuves La Jeunesse de la bête et Le Vagabond de Tokyo, deux des meilleurs films de Seijun Suzuki. Ce cinéaste japonais, pratiquement inconnu en France, avait réalisé une trentaine de films entre 1956 et 1967, pour la plupart des œuvres de genre, produits par […]
Film d’une densité thématique et d’une épaisseur romanesque inhabituelles dans le jeune cinéma français, « Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle) » tient toutes les promesses de sa folle ambition.
Travaillant la notion de temps, multipliant pistes et personnages, glissant fluidement de l’individu au groupe, Arnaud Desplechin signe là une œuvre proliférante, à la fois rigoureusement maîtrisée et trouée d’appels d’air. Comment je me suis disputé… sera peut- être un grand film générationnel c’est déjà un grand film tout court.