ARCHIVES DE Juillet 1995
Articles du 26 Juillet 1995
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
En septembre 1971, John Lennon tourne définitivement le dos à l’Angleterre des Beatles et débarque aux Etats-Unis. Il n’en partira plus. Sa ville d’adoption, New-York, révèle alors toute la complexité d’une personnalité girouette dont les disques de l’époque, qu’ils soient apathiques, boiteux ou inspirés, disent tous la candide honnêteté.
Après la disparition de Stax et une banqueroute personnelle, Isaac Hayes était resté silencieux pendant sept ans. Certains n’avaient pourtant pas oublié le compositeur de la fameuse bande-son de Shaft: des rappers américains à Portishead, on a abondamment pillé sa carrière de précurseur dynamitant la soul. Avec deux nouveaux albums, lsaac Hayes prouve qu’il n’est pas seulement un souvenir.
Paul McGuinness, manager de U2, crée un nouveau label Celtic Heartbeat. Ou comment adapter les techniques de marketing à la musique traditionnelle irlandaise.
Un an après sa disparition, l’ombre placide d’Antonio Carlos Jobim, le compositeur-arrangeur le plus populaire de la bossa-nova, ne cesse de hanter toutes les musiques en quête de volupté.
De la série d’hommages programmés par le Festival de la Rochelle, seul celui consacré à Valerio Zurlini s’est montré à la hauteur. Dandy esthète, Zurlini occupe une place à part dans le cinéma italien et ses films, morbides, dépressifs, maniéristes, sont tous des confessions à la fois voilées et terriblement impudiques.
Surgi de nulle part, La Reine des bandits s’impose comme le coup de maître météorique de Shekhar Kapur, réalisateur indien non répertorié par nos services. Croisement improbable de documentaire rural, de radiographie sociopolitique et de western brutal, son film est le récit réaliste et mythique de la vie de Phoolan Devi, Robin des Bois en jupons et légende vivante aux Indes.
Autour de Richard III, le metteur en scène Matthias Langhoff malaxe la parole de William Shakespeare.