ARCHIVES DE Décembre 1995
Articles du 13 Décembre 1995
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
On pensait que Mick Jagger ne parlait plus que la langue de bois. Seul un confident pouvait démontrer le contraire et lui faire cracher sa vision actuelle de l’épopée Rolling Stones en le cuisinant pendant des heures. Un festin unique dont voici l’entrée et le plat principal. Dessert la semaine prochaine.
On n’avait encore jamais vu ça : en trois mois et trois albums à la richesse insolente, Baby Bird, qui se résume en fait au très anglais Steve Jones, vient de faire une entrée fracassante dans notre quotidien. Trois bricolages de disques à la folie douce, au psychédélisme sucré et aux chansons exemplaires.</
Alors que sort enfin The Sound of McAlmont & Butler, l’album photo d’un amour d’été entre le guitariste le plus doué de sa génération et la voix la plus remarquable de la nouvelle soul anglaise, David McAlmont retrace son effarant chemin de croix, des exorcistes de Guyane aux paillettes de Top of The Pops. L’art de tomber au mauvais moment, au mauvais endroit.
Depuis son entrée dans le cinéma anglais au début des années 70 (Midnight express, Les Chariots de feu, Mission, La Déchirure), David Puttnam a su offrir une image atypique du producteur de cinéma. Pas de cigare ni de grands gestes, une conscience extrême de ses échecs et une méfiance instinctive vis-à-vis du succès.
Notre époque manque cruellement de ces Lang et Walsh mineurs, où les bons triomphaient du Mal. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, un physicien américain est envoyé en Europe afin de rapatrier dans le camp allié des savants élaborant sous la contrainte une bombe atomique pour les nazis. Si Cape et poignard fait […]