ARCHIVES DE Novembre 1988
Articles du 30 Novembre 1988
À moins d’une semaine du lancement du festival de Cannes, quels sont les films que l’on attend avec impatience ? Petit tour d’horizon parmi toutes les sélections du festival, entre auteur·trices confirmé·es et jeunes espoirs de demain.
Pour célébrer les 60 ans du premier album des Beach Boys, le groupe de Brian Wilson s’associe à Vilebrequin pour une collection entre le littoral californien et les côtes tropéziennes. L’occasion de revenir sur 5 anecdotes concernant la formation américaine.
ARIVE, l’application qui sélectionne et livre des produits de beauté, mode et lifestyle en moins de 60 minutes par vélo électrique, est désormais disponible à Paris !
Trente-trois ans après sa création, la Fondation Jean-Luc Lagardère s’engage, cette année encore, à soutenir le projet de jeunes professionnel·les : musicien·nes, photographes, scénaristes TV, journalistes, écrivain·es….Un véritable coup de pouce pour les artistes et acteur·rices de la culture !
Romancier et journaliste, Salgues a bien connu Gainsbourg, qu’il était l’un des rares à appeler Sergio. Son bouquin est avant tout un livre sur lui-même, notamment sur sa toxicomanie, établissant un parallèle assez étroit entre les deux trajectoires. L’un des rares livres sur Gainsbourg qui ne se positionne pas en infériorité par rapport à son […]
La plus grosse surprise punk depuis Nirvana huit millions d’albums vendus dans le monde revient jouer en France. Offspring sauvera-t-il son quartier d’Orange County ? Sûr qu’à la perception locale, on doit commencer à faire des courbettes. Ces gamins du cru pourraient bien tirer de la banqueroute un comté qui, dix ans auparavant, […]
En anglais, on appelle ça “stew” ou “world beat”. En espagnol, ce serait la “salsa”. En français, “sauce” ou “sono mondiale”. C’est la recette du moment pratiquée avec talent par la Mano Negra, consistant à mélanger frénétiquement diverses épices choisies au hasard de la mappemonde ? prédominance ici d’un axe Memphis-Paris-Méditerranée. Ensuite, on laisse mijoter […]
En 1989, Bashung a passé la quarantaine, et cet album noir, vicié, étouffant, peut apparaître comme l’excroissance visible d’une crise personnelle profonde et durable. Le redoutable Nick Patrick pousse toujours les boutons. Certains synthés, encore utilisés à l’époque, font un peu mal aux oreilles treize ans après, mais dans l’ensemble, c’est l’album le mieux maîtrisé […]