Le fondateur de Wikileaks, détenu par la police de Londres depuis le 7 décembre pour deux accusations d’agressions sexuelles en Suède, vient de se voir accordé une remise en liberté conditionnelle.
Il y a deux jours, un jugement de première instance avait accordé à Julian Assange une remise en liberté contre une caution de 200 000 livres sterling. Un jugement dont le parquet britannique, qui représente le gouvernement suédois, avait fait appel craignant, selon l’AFP, qu’il puisse s’enfuir.