Réclamé en masse depuis des années par ses utilisateurs, le fameux bouton “je n’aime pas” sur Facebook n’est toujours pas sérieusement envisagé par le réseau social. Ce sont plutôt des boutons exprimant l’empathie, et dépassant le système binaire “j’aime” ou “je n’aime pas” qui sont en développement. Le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg a annoncé la nouvelle […]
Réclamé en masse depuis des années par ses utilisateurs, le fameux bouton « je n’aime pas » sur Facebook n’est toujours pas sérieusement envisagé par le réseau social.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Ce sont plutôt des boutons exprimant l’empathie, et dépassant le système binaire « j’aime » ou « je n’aime pas » qui sont en développement.
Le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg a annoncé la nouvelle hier, lors d’une session de questions-réponses, diffusée en direct sur son profil.
« Il est important de donner aux gens davantage d’options que juste « j’aime » pour rapidement marquer des émotions et partager leurs sentiments sur une publication. Aujourd’hui est un jour spécial, parce que c’est le jour où je peux dire que nous travaillons là-dessus et que nous sommes tout près de démarrer un test. »
Mark Zuckerberg répondait à un internaute au Caire, en Egypte, qui l’interrogeait sur la possibilité de bouton comme « je suis désolé », « intéressant » ou « je n’aime pas » en plus du bouton « j’aime ».
Mais un clique d’utilisateur sur un « je n’aime pas » est signe de négativité sur le réseau social, et ça, le PDG n’en veut pas.
« Nous ne voulions pas seulement construire un bouton « je n’aime pas » parce que nous ne voulons pas transformer Facebook en un forum où les gens votent pour ou contre les publications des gens »
Comme l’explique le journaliste Brian Barrett pour le magazine Wired, un dialogue négatif n’encourage pas les gens à communiquer et les fait même fuir, ce qui est contraire au but du réseau social.
{"type":"Banniere-Basse"}