François Morel fait son autocritique, ce 1er février sur France Inter. Ne serait-il pas en perte de vitesse ? La médiatisation de Frédéric Beigbeder, les polémiques autour de Nagui, Ardisson ou encore Woody Allen lui font craindre le pire : son invisibilité, lui qui ne fait pas de vagues, et ne suscite que le courrier d’un professeur de français à la retraite lui reprochant d’utiliser l’expression « rasé de près ».
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Alors il a décidé de se lancer dans la production de buzz. Une tentative qui échoue lamentablement. Par manque de conviction, on le sent bien : “Dominique Seux dans sa chambre d’étudiant a un poster du Che », avance-t-il mollement. Et d’en rajouter une couche un peu plus acide : “J’adresse toutes mes pensées au mari de la joggeuse, qui comme l’ont souligné ses avocats avait peut-être un petit côté soupe au lait, mais faut avouer qu’elle par moment était pas facile facile…”
Tentative encore vaine, mais le véritable but est atteint : François Morel a pointé la vanité de ces provocations et disputes quotidiennes parfois puériles…
{"type":"Banniere-Basse"}