{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
That escalated quickly… L’ancien président de SOS Racisme, qui avait soutenu Emmanuel Macron dès le premier tour de la présidentielle alors qu’il était membre du PS en 2017, a tenu des propos pour le moins surprenants sur le plateau d’On n’est pas couché ce 19 mai. Alors qu’il parle de la radicalité chez les jeunes, et notamment de la séduction qu’exerce Daesh sur eux, Laurent Ruquier lui fait remarquer qu’il y a aussi des jeunes qui s’engagent à la France insoumise.
Il répond alors, sans que cela ne suscite aucun commentaire : “ça peut être un sas. Quand M. Mélenchon biberonne à la haine une jeunesse – alors que lui-même était sénateur à 34 ans, j’ai vu aussi au moment de la présidentielle le capital qu’il avait et pour un mec qui n’a jamais bossé de sa vie, c’est quand même pas mal -, oui, ça amène à ça… Quand toute la tonalité est violente, tout vous amène à la violence.” Un raccourci sidérant, qui suscite l’indignation parmi les partisan de la France insoumise.
Pour rappel, Malek Boutih avait déjà fait la démonstration de son animosité immodérée envers Jean-Luc Mélenchon quand il avait déclaré pendant la présidentielle : “Si Jean-Luc Mélenchon avait le pouvoir, la France serait la Corée du Nord avec un peu plus de potentiel alimentaire”.
{"type":"Banniere-Basse"}