En pleine crise sanitaire, des internautes ont eu la bonne idée d’imaginer un nouveau dialogue parodique sur une scène culte du film La Chute (devenue un mème depuis longtemps).
Pour conjurer l’angoisse de la crise du coronavirus, rien de mieux que l’inventivité d’internet. La preuve avec cette parodie de la scène culte du film La Chute, de Oliver Hirschbiegel, où Hitler est pris d’une colère noire contre ses généraux. Cette scène bien connue a fait l’objet de multiples reprises et détournements qui la rendent hilarante, mais on tient là une perle.
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En effet, le compte Twitter @worldtvdesinfo a imaginé qu’il s’agissait du “dernier Conseil des ministres extraordinaire consacré au coronavirus”. Les généraux (des ministres) expliquent à Hitler (le président) que la crise due à l’épidémie est beaucoup plus grave que prévu, et qu’il y a une rupture de stock de masques… Hitler demande alors à tout le monde de sortir de la pièce, sauf “Castaner, Véran, Le Maire et Blanquer”. S’ensuit la fameuse scène où il explose de colère. Le dialogue est d’anthologie :
https://twitter.com/worldtvdesinfo/status/1242363935426252800
Nos équipes ont mis la main sur la vidéo du dernier Conseil des ministres extraordinaire consacré au #coronavirus (2/2) 😷#CONFINEMENTJOUR8 #Covid_19fr pic.twitter.com/pzLWK2aeEr
— worldtvdesinfo (@worldtvdesinfo) March 24, 2020
Buzyn, Griveaux, Brigitte Macron…
Le dialogue comprend de nombreuses références réelles à l’actualité, comme le fait que Brigitte Macron s’est baladée sur les quais, l‘affaire Griveaux, ou le fait qu’Agnès Buzyn affirme avoir prévenu l’exécutif des risques que comprenait l’épidémie. “Président, Buzyn vous a envoyé un mail en janvier”, tente ainsi d’expliquer un ministre. Réplique : “J’ai cru que c’était la bite à Griveaux ! Il était dans mes spams !” Un bon moment de rigolade pour détendre l’atmosphère en cette période difficile.
Première fois de ma vie que je pleure de rire 😂😂😂😂 Vraiment ! https://t.co/EHuHeZcPjM
— Jean Rev (@Rev_de_Presse) March 24, 2020
>> A lire aussi : Vincent Macaigne : “La crise du coronavirus pose la question de l’individuel et du collectif”
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