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Ce 7 janvier dans la Matinale de France Inter, le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, faisait un point d’étape du mouvement social contre le projet de réforme des retraites, dans cette semaine décisive. A cette occasion, Léa Salamé et Nicolas Demorand ont voulu savoir s’il appelait au blocage des raffineries, ce qu’Edouard Philippe a jugé “illégal”. Philippe Martinez a alors martelé que la CGT appelait à la grève, point barre.
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Mais sous l’insistance des journalistes, qui ont voulu une réponse très exacte sur la “syntaxe”, il a répondu d’une manière fort pertinente sur la réalité d’un mouvement de grève : “Quand il y a grève, dans toutes les entreprises, y compris dans cette belle maison, eh ben il y a des perturbations, il y a des émissions qui ne passent plus, voilà !” – une référence au mouvement social en cours depuis le 25 novembre à Radio France afin de lutter contre le plan d’économies prévu par la direction, lequel prévoit la supression de 300 postes et la création en parallèle de 76 autres. “Absolument”, a ponctué Léa Salamé.
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