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“Que c’est bon d’être une travailleuse, car le jour dans mon open space, quand l’écran se met en veilleuse, que je ralentis le process, je me fais flexibiliser la besogne.” Mercredi 4 décembre, la veille de la grève lancée à l’initiative de nombreux syndicats contre la réforme des retraites, la chroniqueuse de France Inter a repris le célèbre titre de Colette Renard, Les nuits d’une demoiselle. Et ce, en adaptant avec humour les paroles à la réalité du monde du travail contemporain et à son vocabulaire si… particulier.
Accompagnée du cœur symphonique de Radio France et d’André Manoukian au piano, Charline Vanhœnacker dénonce en musique les conditions de travail de plus en plus précaires des salariés français : “Je me fais délocaliser en Pologne, je me fais squeezer les régimes spéciaux (…) je me fais impacter la pension, je me fais targuetter l’indemnité.”
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