En pleine polémique depuis son discours prononcé en Grèce vendredi dernier, au cours duquel il a prévenu qu’il ne céderait “ni aux fainéants ni aux cyniques ni aux extrêmes”, pour appliquer sa réforme du code du travail, Emmanuel Macron a répondu des accusations qui lui sont faites au micro de Quotidien. Et il ne regrette “absolument pas” […]
En pleine polémique depuis son discours prononcé en Grèce vendredi dernier, au cours duquel il a prévenu qu’il ne céderait “ni aux fainéants ni aux cyniques ni aux extrêmes”, pour appliquer sa réforme du code du travail, Emmanuel Macron a répondu des accusations qui lui sont faites au micro de Quotidien.
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Et il ne regrette « absolument pas » ses propos et encourage à écouter son discours en entier : « Les gens ont tort de vouloir déformer pour créer de fausses polémiques. Je n’ai jamais été dans l’invective, j’aime la France et les Français », affirme-t-il alors qu’on lui reproche d’avoir insulté ces-derniers.
Macron répond à Quotidien : il ne regrette "absolument pas" l'utilisation du mot "fainéants". ⤵️#Quotidien @PaulLarrouturou pic.twitter.com/ymmqDkQaqm
— Quotidien (@Qofficiel) September 11, 2017
« On ne peut pas faire avancer notre pays si on ne dit pas les choses en vérité »
Qui sont ces fameux « fainéants » ? Le président de la République développe :
« Celles et ceux qui pensent qu’on ne doit pas bouger, en France comme en Europe. J’interpellais celles et ceux qui quinze ans plus tôt avaient dit qu’en Europe ou en France on pouvait ne pas bouger, et qui quinze ans plus tard se réveillent avec le Brexit, la Pologne qui nous tourne le dos, une crise européenne, et des difficultés françaises. »
Et de conclure : « On ne peut pas faire avancer notre pays si on ne dit pas les choses en vérité ».
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