{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
“Merci putain c’est trop bon ! Je vais enfin pouvoir me payer Raphaël Glucksmann !” Après cinq ans de collaboration, Charline Vanhoenacker a fait ses adieux à Léa Salamé, qui se met en retrait de la matinale de France Inter, compte-tenu du fait que son compagnon, Raphaël Glucksmann, se lance pour la campagne des élections européennes avec Place publique. Pour finir en beauté, Charline se paye donc le couple, et en particulier Raphaël Glucksmann, dont le rêve est d’unir la gauche. Commentaire acerbe de Charline : “C’est le type qui s’est dit : ‘Bon, j’ai réussi à pécho Léa Salamé, plus rien ne peut me résister, même pas la gauche !’”
Plus cruelle (et drôle), considérant son alliance avec le PS, elle remarque : “Glucks, c’est le mec, on est content qu’il soit pas sauveteur. Là il est en plein massage cardiaque avec un patient décédé depuis deux ans.” Des adieux dans la bonne humeur, même si le fond de vérité de cette chronique est un peu corrosif : “Si ça continue la France sera le premier parti au monde où il y a plus de partis de gauche, que d’électeurs de gauche.”
{"type":"Banniere-Basse"}