Son style à l’élégance rétro a habillé la jet-set des années 50 à nos jours.
Créateur de mode et génie inventif, notamment dans ses techniques de tissage et d’impression, l’Italien Emilio Pucci, décédé en 1992 à l’âge de 78 ans, s’est fait connaître dans les années 50 par ses imprimés pop art kaléidoscopiques aux couleurs aveuglantes, inspirées des paysages méditerranéens et autres contrées exotiques.
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Styliste fétiche de Marilyn Monroe – qui fut enterrée dans une de ses robes –, Jackie Kennedy, Madonna ou Kylie Minogue, celui qu’on appelait le “Prince des imprimés” était issu d’une famille aristocratique napolitaine. Homme qui aimait les femmes, le faste et les mondanités, connu sous le nom de “marquis Emilio Pucci di Barsento”, il a défini une écriture vestimentaire rétro-graphique et psychédélique et fut, par ailleurs, le premier à apposer son nom en évidence sur ses créations. Un geste dont s’inspirèrent bien des créateurs après lui, faisant de leur patronyme un véritable logo.
Ecrit par la rédactrice mode du Financial Times Vanessa Friedman en collaboration avec Laudomia Pucci, fille unique du styliste, ce livre XL retrace le parcours du créateur à travers différentes anecdotes, témoignages, illustrations et photographies issues de la fondation Emilio-Pucci à Florence. Un ouvrage auquel s’ajoute une édition artistique limitée à 500 exemplaires reliés dans un tissu vintage et accompagné de dessins originaux. Ce qu’on appelle deux beaux livres, en somme.
Pucci de Vanessa Friedman (éditions Taschen), 150 €, édition artistique vintage 600 €
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