Si vous êtes exploité par votre patron ou si vous vous auto-exploitez, ne culpabilisez plus d’un verre de trop. Car la science l’a dit : travailler trop peut augmenter jusqu’à trois fois le risque d’alcoolisme.
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Une étude néo-zélandaise menée auprès de 1000 personnes dégage un double lien entre l’excès de travail et l’excès d’alcool. Il y a bien sûr le stress, mais aussi la sociabilité engendrée par les longues journées à côtoyer les collègues. Travailler beaucoup vous fait donc prendre de la bouteille dans tous les sens du terme.
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