Fournisseurs de détournements bien sentis, de blagues pour initiés et de références pop réservées aux blogueurs geeks, les Honest Trailers de Screen Junkies ne déçoivent jamais lorsqu’il s’agit de transformer blockbusters et séries à succès en réservoirs à vannes. La dernière cible en date de ces zinzins ? Sherlock, un divertissement brillant justement estimé pour […]
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Fournisseurs de détournements bien sentis, de blagues pour initiés et de références pop réservées aux blogueurs geeks, les Honest Trailers de Screen Junkies ne déçoivent jamais lorsqu’il s’agit de transformer blockbusters et séries à succès en réservoirs à vannes. La dernière cible en date de ces zinzins ? Sherlock, un divertissement brillant justement estimé pour son protagoniste sarcastique et nerd, à l’esprit vif et à la verve cinglante comme un coup de fouet. La mise en abyme est parfaite : l’humour ici est strictement sherlockien. Six minutes de comique frénétique, fondées sur la maniaquerie, le sens pathologique du détail (thé, textos et écharpes en série), les tics de langage (répétitions en pagaille) et la mauvaise foi – beaucoup, beaucoup de mauvaise foi. « Cumberbitch », la bouche de Moriarty, l’accent so british des protagonistes, les mimiques burlesques de Martin Freeman…tout y passe et l’effet sur nos zygomatiques est dévastateur. Elementaire, même.
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