A l’occasion de l’exposition “The Velvet underground, New York Extravaganza”, présentée à la Philharmonie de Paris du 30 mars au 21 août, notre photographe Renaud Monfourny s’y est rendu en avant-première. Nous vous présentons en exclusivité ce diaporama retraçant l’histoire et l’héritage d’un des groupes les plus influents de l’histoire du rock, issu de la rencontre […]
A l’occasion de l’exposition « The Velvet underground, New York Extravaganza », présentée à la Philharmonie de Paris du 30 mars au 21 août, notre photographe Renaud Monfourny s’y est rendu en avant-première. Nous vous présentons en exclusivité ce diaporama retraçant l’histoire et l’héritage d’un des groupes les plus influents de l’histoire du rock, issu de la rencontre improbable entre Lou Reed et John Cale.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
>> Lire aussi notre hors-série consacré au Velvet Underground <<
On est accueillis par un portrait audio, vidéo pour chacun des membres. A tout bien tout honneur, Lou est le premier !
Le groupe à peine formé, en 1965, encore sans nom et avec Angus MacLise à la batterie. A noter que Lou Reed se prend pour Lawrence d’Arabie…
Très impressionnant corpus photographique issu des archives de Fred McDarrah, photographe du Village Voice qui documenta tout le foisonnement artistique du village et du lower east side des années 60.
Parmi la faune new-yorkaise l’excentrique Piero Heliczer, ami d’Angus MacLise fait tourner le groupe dans son film Venus In Furs, Lou, Sterling et John torses nus et peints, Moe en mariée !!!
Le grand cinéaste Jonas Mekas qui invente le journal filmé a vu le groupe naître et grandir. Il propose pour l’exposition une installation inédite.
Installé à la Factory, le Velvet passe sous l’objectif du très jeune Stephen Shore pour des photographies mythiques de celui qui deviendra un des coloristes américains majeurs.
Rarement sorti de New York, le Velvet est emmené à Ann Arbor (la ville du futur Iggy Pop !) avec le spectacle d’Andy Warhol Exploding Plastic Inevitable. C’est Nico qui conduit le van…
La scénographie signée Matali Crasset repose sur cet espace split screen qui se voit assis à l’intérieur ou flânant à l’extérieur avec une collection de memorabila exposée en frise.
Le Velvet, Nico puis John Cale partis, est toujours au top avec Doug Yule qui épaule Lou Reed.
L’héritage du Velvet est incommensurable et a irrigué tous les arts depuis sa fondation. Deux œuvres de jeunes artistes, Joao Louro, I’ll will be your mirror, et Léo Dorfner, L’étrange similitude entre le principe de plaisir et l’utilisation violente d’une hache.
Commissaires de l’exposition :
Christian Fevret : co-fondateur et ancien directeur de la rédaction des Inrockuptibles
Carole Mirabello : productrice audiovisuel
Toutes les photos sont de Renaud Monfourny
A lire aussi, notre hors-série, en kiosques en ce moment ou ici.
{"type":"Banniere-Basse"}