Bien que l’informatique l’aide au quotidien, Stephen Hawking craint que les robots et les ordinateurs finissent par se passer de nos services. Le Monde rapporte que dans un entretien pour la BBC “le scientifique affirme que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l’humanité”. Atteint de la maladie de Charcot, le grand savant […]
Bien que l’informatique l’aide au quotidien, Stephen Hawking craint que les robots et les ordinateurs finissent par se passer de nos services. Le Monde rapporte que dans un entretien pour la BBC “le scientifique affirme que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l’humanité”.
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Atteint de la maladie de Charcot, le grand savant ne se déplace plus depuis longtemps que dans un fauteuil roulant et communique avec son entourage grâce une batterie d’appareils ultra perfectionnés. Pour écrire, il utilise un logiciel qui réagit aux mouvements de sa joue, il se sert d’une voix synthétique, dont soit dit en passant, il s’affirme très satisfait : “Elle est devenue mon signe distinctif et je ne la changerais pas pour une voix plus naturelle avec un accent britannique.”
Hawking est conscient des prouesses de l’intelligence artificielle et des progrès qu’elle permet tous les jours, en premier lieu, sa propre survie et la poursuite de ses recherches, mais il s’inquiète des risques qu’elle représente. Déjà dans une tribune dans The Independant il y a quelques mois, il se demandait si l’avènement de l’AI ne représentait pas le “plus grand événement de l’histoire de l’humanité” mais aussi “unfortunatly, le dernier” !
Le chercheur poursuit : “Les humains, limités par une lente évolution biologique, ne pourraient pas rivaliser et seraient dépassés”, et “le développement d’une intelligence artificielle complète pourrait mettre fin à l’humanité”. Brisez vos Google Glass !
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