Face aux pubs photoshopées et aux selfies de stars à la mise en scène ultra-millimétrée qui ont envahi Instagram, Sophie Fontanel, Celeste Barber et Nathalie Croquet ont décidé de riposter en utilisant l’humour. Sur leurs comptes, elles parodient ces images trop lisses de la féminité en assumant leur corps au naturel. Instagram, l’appli qui pimpe […]
Face aux pubs photoshopées et aux selfies de stars à la mise en scène ultra-millimétrée qui ont envahi Instagram, Sophie Fontanel, Celeste Barber et Nathalie Croquet ont décidé de riposter en utilisant l’humour. Sur leurs comptes, elles parodient ces images trop lisses de la féminité en assumant leur corps au naturel.
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Instagram, l’appli qui pimpe notre quotidien à coup de photos filtrées, a affaire à 3 (re)belles qui font de la résistance. Leur arme : un humour implacable. Au milieu des healthy girl qui maitrisent le selfie sexy au réveil, les photos de leurs brunchs sans gluten et qui enchainent ensuite avec une séance de yoga sur fond de coucher de soleil, il y a Céleste la comédienne australienne suivie par plus de 500 000 followers, Sophie la journaliste de mode aux 50 000 lecteurs et Nathalie, la styliste qui comptabilise 15 000 abonnés. Ces trois là ne pratiquent ni le yoga sur la plage, ni le selfie sexy mais par contre, elles maitrisent à la perfection l’auto-dérision. Avec leurs parodies de photos de stars, de publicités, et les mises en scènes complétement décalées de leur quotidien, elles ont réussi l’air de rien à tordre le cou aux clichés de la femme » parfaite « – qui se veut forcément jeune, super athlétique et super épanouie dans son maillot de bain – qui avait doucement envahi notre fil Instagram. Celeste Barber, Sophie Fontanel, Nathalie Croquet, on a envie de vous dire merci.
Nathalie Croquet, la styliste dans la peau d’une mannequin qui reproduit les campagnes des grandes marques
Celeste Barber, la comédienne australienne qui parodie les photos Instagram des stars
Sophie Fontanel, quand une journaliste tient le journal de ses expérimentations mode face à son miroir, revendique le « graypride » (laisser pousser avec fierté ses nouveaux cheveux grisonnants) et s’essaye au yoga, avec poésie
Et en bonus, l’érection de l’homme invisible :
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