“Une fois n’est pas coutume, j’aimerais essayer de prendre la défense de Marine Le Pen. Oui je sais ça peut surprendre, mais compte tenu de mes origines contrôlées, du score de l’extrême-droite aux régionales et des prédispositions de la donzelle à la violence… C’est pas que je tienne à garder ma place mais j’aimerais simplement […]
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« Une fois n’est pas coutume, j’aimerais essayer de prendre la défense de Marine Le Pen. Oui je sais ça peut surprendre, mais compte tenu de mes origines contrôlées, du score de l’extrême-droite aux régionales et des prédispositions de la donzelle à la violence… C’est pas que je tienne à garder ma place mais j’aimerais simplement rester en vie. » C’est une Sophia Aram en très grande forme ce matin sur Inter qui a décidé de consacrer sa chronique à la présidente du FN Marine Le Pen.
L’humoriste est revenue sur la polémique qui a débuté mercredi dernier sur RMC, où l’islamologue Gilles Kepel était l’invité de Jean-Jacques Bourdin. Suite aux propos de l’animateur exprimant des similitudes entre le repli identitaire du FN semblable à celui de Daesh, Marine Le Pen « lâche les freins » selon Sophia Aram et « publie 3 photos de victimes de Daesh » sur Twitter.
« Bien sûr que sa réaction est irresponsable, puérile et impulsive. Mais mettez vous à sa place deux minutes !’, défend ironiquement Sophia Aram. Après le zéro région aux élections, à un moment, les coutures finissent par lâcher et vous vous retrouvez devant celle qu’elle n’a jamais cessé d’être : une énervée congénitale incapable de répondre à la contradiction autrement qu’en vomissant sa haine. » Enfin si Marine Le Pen a retiré la photo de l’une des victimes – James Foley –, Sophia Aram nous explique pourquoi elle a laissé les deux autres : « Parce que pour elle ce sont deux bougnoules ! Des bougnoules de Bougnoulie qui se battent entre eux ! C’est regrettable mais elle ne va quand même pas pleurer merde ! »
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