Contrairement à un cliché qui voudrait qu’en SM, la personne dominante soit celle qui ne sache pas s’arrêter, une experte fait remarquer : « Il y a plein de soumis pour qui on se demande où est la limite. C’est épuisant pour la personne qui les domine. » Quelle solution alors ? Avoir de l’intuition et savoir quand s’arrêter, deux qualités sans lesquelles « il ne sert à rien de pratiquer du SM ». Toute la difficulté repose dans la variabilité de la souffrance, d’une personne à l’autre… Rue69 vous dévoile les règles pour que la douleur soit toujours un plaisir.
Sadomasochisme : les règles pour que la douleur soit toujours un plaisir
Publié le 27 mars 2012 à 15h49
Mis à jour
le 27 mars 2012 à 15h49