“Le sexe à toujours été au cœur de la vie humaine” rappelle The Verge en préambule de son article et pose rapidement une question : quel est le futur de l’acte sexuel ? Face aux maladies sexuellement transmissibles, de plus en plus résistantes, et grâce aux avancées technologiques du XXie siècle, cet avenir est incertain. De […]
« Le sexe à toujours été au cœur de la vie humaine » rappelle The Verge en préambule de son article et pose rapidement une question : quel est le futur de l’acte sexuel ? Face aux maladies sexuellement transmissibles, de plus en plus résistantes, et grâce aux avancées technologiques du XXie siècle, cet avenir est incertain.
De nouveaux préservatifs
Préservatifs plus minces ou à enrouler autour du sexe plutôt que le dérouler tout le long de la verge, les idées ne manquent pas pour « rendre les barrières sexuelles plus amusantes à contourner ». Concernant le contraceptif masculin, il pourrait reposer, dans le futur, sur un laser infrarouge et des injections de nanoparticules d’or, directement dans les testicules. Du côté des femmes, les scientifiques réfléchissent à un anneau vaginal qui dégagerait une hormone contraceptive et anti-VIH (virus de l’immunodéficience humaine).
L’année dernière déjà, le quotidien Libération nous présentait « Le sexe virtuel sept étapes » avec un programme notamment ce robot conçu « pour le plaisir » : la Geminoid F, une garde-malade « ressemblant à une vraie » ou les Cyborgasmatrix ou « love dolls », ces poupées siliconées et grandeur nature, munies d’un squelette.
https://www.youtube.com/watch?v=-jFhH2vhmvM
Partie de jambes en l’air avec des Oculus rifts
Bien qu’un peu flippante, ces avancées technologiques n’en sont pour le moment qu’au stade de la réflexion. Toutefois, le développement de la réalité augmenté, via les Oculus Rifts par exemple, peuvent laisser entrouvrir la voie à du sexe virtuel qui prendrait la place de l’acte réel. Selon Libération, les Google Glass présentent aussi un potentiel : un projet d’un film pornographique via les lunettes offreuses de réalité augmentée avait été un moment envisagé, mais n’a finalement pas donné suite. Toutefois, selon The Verge, « peu importe la qualité du résultat obtenu virtuellement, il est difficile d’imaginer un remplacement de l’acte sexuel physique ». Ouf de soulagement.