Au-delà de l’échec du FN et de la gauche et la droite qui sauvent les meubles, les élections régionales ont eu un résultat historique dans une région : la Corse est dirigée, pour la première fois, par un nationaliste, Gilles Simeoni. Les équipes du Supplément, sur Canal+, sont allées à Bastia, au QG de l’ancien […]
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Au-delà de l'échec du FN et de la gauche et la droite qui sauvent les meubles, les élections régionales ont eu un résultat historique dans une région : la Corse est dirigée, pour la première fois, par un nationaliste, Gilles Simeoni. Les équipes du Supplément, sur Canal+, sont allées à Bastia, au QG de l’ancien avocat d’Yvan Colonna, pour en savoir plus sur cet homme.
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Fils d’Edmond Simeoni, un des fondateurs du mouvement nationaliste corse, l’homme n’a « pas une conception familiale de l’exercice des responsabilités », assure-t-il. Maire de Bastia depuis mars 2014, le chef de file d’Inseme per a Corsica, parti nationaliste modéré qui a fait liste commune avec le Parti national corse notamment, a un premier objectif : rendre officielle la langue corse, au même titre que le français.
Pour « arranger les histoires un peu compliquées », les Simeoni ont « une arme secrète », explique Marc, le frère du nouveau président du conseil exécutif de l’île : la magagne, l’humour corse.
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