Le dernier volet de Metal Gear Solid: Phantom Pain, avait déjà fait parler de lui bien avant sa sortie. En cause : l’accoutrement minimal – un tout petit bikini – du personnage féminin prénommé Quiet (soit “silence” en anglais, un drôle de nom pour une femme…). Son créateur, Hideo Kojima, avait justifié cette panoplie en […]
Le dernier volet de Metal Gear Solid: Phantom Pain, avait déjà fait parler de lui bien avant sa sortie. En cause : l’accoutrement minimal – un tout petit bikini – du personnage féminin prénommé Quiet (soit « silence » en anglais, un drôle de nom pour une femme…). Son créateur, Hideo Kojima, avait justifié cette panoplie en arguant du fait que Quiet ne peut respirer que par la peau. Dans quelques scènes, le joueur peut même dézipper la veste dont est vêtue la jeune femme afin de lui éviter de suffoquer.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Scandalisé par un scénario aussi sexiste, le docteur en neurosciences et contributeur du Guardian Dean Burnett s’est amusé à lister des arguments tout aussi absurdes qui pourraient justifier le fait que les poitrines des personnages féminins guerriers sont souvent ultra-plantureuses.
Il évoque ainsi leur stabilité : « Ondulés de la bonne façon, les gros seins peuvent agir comme amortisseurs harmoniques. (…) Dès lors, les grosses poitrines peuvent amortir les chocs lors des combats, permettant aux femmes de se protéger et de riposter. »
Plus loin, il assure que les glandes mammaires produisent du lait mais aussi un acide corrosif assez puissant pour dissoudre la chair ou les os des ennemies, et de faire fondre le métal. « Une grande consommation de plats épicés peut également favoriser la production d’une substance proche du napalm » ajoute-t-il.
En conclusion, Dean Burnett justifie son recours à l’ironie en expliquant : « Lorsqu’on arrive à un moment où un personnage féminin porte un vêtement échancré dans un jeu vidéo moderne parce qu’elle est photosynthétique, l’absurde est la seule réponse appropriée. »
{"type":"Banniere-Basse"}