“Il est parti, il est parti, il est parti le FMI…. Lalalalala” ou encore “Mais il est où, mais il est où Papandréou” chantaient dimanche Jean-Luc Mélenchon et les militants de gauche dans un rassemblement célébrant le “non” grec, choisi par 61,31 % des électeurs. Dans la manifestation, les drapeaux grecs côtoyaient ceux du Parti de Gauche, du Front […]
Jean-Luc Mélenchon était place de la République à Paris, dimanche soir, pour célébrer la victoire du « non » grec au référendum portant sur le plan de sauvetage de la « Troïka » (FMI, BCE et Union européenne). Accompagné par plusieurs centaines de militants qui ont répondu à son appel au rassemblement, le cofondateur du Parti de Gauche n’a, comme à son habitude, pas mâché ses mots à l’égard des décisionnaires européens.
« Il est parti, il est parti, il est parti le FMI…. Lalalalala » ou encore « Mais il est où, mais il est où Papandréou » chantaient dimanche Jean-Luc Mélenchon et les militants de gauche dans un rassemblement célébrant le « non » grec, choisi par 61,31 % des électeurs. Dans la manifestation, les drapeaux grecs côtoyaient ceux du Parti de Gauche, du Front de Gauche, du Parti communiste et du NPA.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Le leader de gauche en a profité pour vertement critiquer les décisions des instances européennes concernant la Grèce : « Et maintenant, les voilà avec une crise monstrueuse sur les bras. Car ou bien, ils font un moratoire pour la Grèce ou bien, ils l’obligent à la banqueroute. Et s’ils mettent la Grèce en banqueroute, il y en a pour 100 milliards pour les Français et les Allemands. C’est absurde. Toute cette crise a été déclenchée pour 1 milliard et demi. C’est absurde. L’univers entier rigole des Européens ».
{"type":"Banniere-Basse"}