C’est le résultat d’une étude menée par l’Université Quinnipiac. Rendue publique le 27 septembre, celle-ci dévoile que 56% des Américains jugent le locataire de la Maison-Blanche “inapte” à occuper la présidence des États-Unis. National poll – #PresidentDonaldTrump strengths and weaknesseshttps://t.co/1QBXPV0sRc pic.twitter.com/7vSqIQRLCn — Quinnipiac Poll (@QuinnipiacPoll) September 27, 2017 La cote de popularité de Donald Trump est au plus […]
C’est le résultat d’une étude menée par l’Université Quinnipiac. Rendue publique le 27 septembre, celle-ci dévoile que 56% des Américains jugent le locataire de la Maison-Blanche « inapte » à occuper la présidence des États-Unis.
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National poll – #PresidentDonaldTrump strengths and weaknesseshttps://t.co/1QBXPV0sRc pic.twitter.com/7vSqIQRLCn
— Quinnipiac University Poll (@QuinnipiacPoll) September 27, 2017
La cote de popularité de Donald Trump est au plus bas. 57% des Américains interrogés désapprouvent la politique menée par son administration, tandis que 51% d’entre eux s’estiment « embarrassés » de l’avoir à la tête du pays.
Trump, plus « Twittos-en-chef » que commandant-en-chef
Plus blessant encore, 60% dénoncent l’incompétence de l’ancien magnat de l’immobilier en matière de « leadership« . Le tableau n’est pas totalement noir, puisque 61% pensent que le président des États-Unis est « une personne forte« , et 55% louent son « intelligence« . Un chiffre qui monte à 90% chez les électeurs Républicains.
Enfin, loin d’être anecdotique, le rapport qu’entretient le Président avec Twitter a été passé au peigne fin. 69% des sondés pensent qu’il devrait arrêter de tweeter. Le « twittos-en-chef » à la communication digitale agressive ne fait pas l’unanimité, loin de là. Pas sûr que ce dernier décide de changer ses habitudes numériques pour autant.
Dans certaines franges de la population, Donald Trump pâtit d’une image fortement dégradée. 94% des électeurs noirs, 63% des femmes et 60% des électeurs hispaniques le jugent inapte à occuper ses fonctions. Une conséquence probable de ses propos misogynes et racistes. Pour « rendre sa grandeur à l’Amérique » (« make America great again« , son slogan de campagne), Trump devra aller convaincre au-delà du seul électorat Républicain.
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