Après Angoulême, c’est au tour de la mairie de Perpignan de diaboliser ses bancs publics, source selon elle de nuisances de toutes sorte. Après des plaintes des riverains, la ville des Pyrénées-Orientales a supprimé plusieurs de ses bancs où se réunissaient des sans-abri ou des groupes de jeunes. Pierre Parrat, adjoint au maire de Perpignan en charge […]
Après Angoulême, c’est au tour de la mairie de Perpignan de diaboliser ses bancs publics, source selon elle de nuisances de toutes sorte.
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Après des plaintes des riverains, la ville des Pyrénées-Orientales a supprimé plusieurs de ses bancs où se réunissaient des sans-abri ou des groupes de jeunes. Pierre Parrat, adjoint au maire de Perpignan en charge de l’urbanisme et de l’aménagement, explique son geste.
“On ne supprime pas toutes les nuisances en supprimant des bancs publics. Mais quand un banc public génère des nuisances par toute une population qui vient gêner, perturber, qui ne respecte rien, on n’a pas d’autres solutions effectivement que de le déplacer.”
L’événement intervient dix jours après que la ville d’Angoulême a pris la décision d’entourer neuf bancs publics de grillages, afin d’empêcher l’installation des SDF.
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