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Loin du copier-coller de l’édition papier des débuts, les sites de la presse quotidienne régionale favorisent l’expression citoyenne des internautes et l’info ciblée au plus près. Et renforcent leur rôle d’acteurs locaux.
Sourdoreille poursuit son périple breton aux Vieilles Charrues, et nous envoie trois nouvelles cartes postales vidéos : Une interview de Ghinzu, un live de Ka Jazz, et une private session de Joseph Arthur.
Inspiratrice, édifiante ou insondable… Sept auteurs français décrivent pour nous leur scène de roman préférée. De Lovecraft à Malaparte, de Kafka à Dostoïevski, cartographie des imaginaires littéraires de nos écrivains fétiches. Aujourd’hui : Marie Darrieussecq.
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Inspiratrice, édifiante ou insondable… Sept auteurs français décrivent pour nous leur scène de roman préférée. De Lovecraft à Malaparte, de Kafka à Dostoïevski, cartographie des imaginaires littéraires de nos écrivains fétiches. Aujourd’hui : Marie Darrieussecq.
Les licenciés de JLG à Tonneins (Lot-et-Garonne), qui menaçaient de faire sauter leur usine, ont obtenu gain de cause : leur indemnité s’élèvera à 30000 euros chacun comme ils le réclamaient, au lieu des 16000 prévus. A Châtellerault (Vienne), les employés de New Fabris qui ont installé des bonbonnes de gaz se déclarent « prêts à aller jusqu’au bout ». Stéphane Sirot, professeur à l’université de Cergy-Pontoise, rappelle que cette menace a des précédents qui remontent au XIXe siècle.
Quelques pistes pour ne pas oublier les séries malgré la canicule et les chagrins d’amour.
Nous ne sommes pas aux Vieilles Charrues de Carhaix, mais les frais potos de Sourdoreille, oui.Pas chiens, ils nous prêtent leurs vidéos.
Les 57 propositions du Haut commissaire à la Jeunesse Martin Hirsch sont-elles suffisantes et peuvent-elles réellement être mises en oeuvre ?
La célèbre photo représentant un Républicain espagnol tué par une balle franquiste aurait été bidouillée selon un journal espagnol qui publie une enquête sur le sujet.
Le Tribunal correctionnel de Pontoise a condamné les dix jeunes jugés pour les violences urbaines de 2007 à Villiers-le-Bel à des peines de prison ferme. Celles-ci vont d’un an à trois ans ferme. Sept incarcérations immédiates ont été prononcées.