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Du discours d'Emmanuel Macron à l'affaire de la mère accompagnatrice prise à partie par un élu RN, les déclarations liées au voile et à la "lutte contre l'islamisme" sont revenues au centre des discussions politiques. Fatima Khemilat, doctorante en Sciences Politiques et spécialiste de l'Islam de France, décrypte la portée des paroles de nos représentants.
Cette augmentation décidée par l'Assemblée nationale sera effective à partir du 1er novembre “pour tenir compte du niveau élevé des loyers parisiens”. Une annonce qui n'est pas passée inaperçue sur Twitter...
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Dans une tribune, des personnalités demandent au président de la République de condamner fermement tout propos discriminant qui serait proféré à l'encontre des musulmans.
Les journalistes, convoqués pour leurs révélations dans l'affaire Benalla, ont fait valoir leur droit au silence estimant que la procédure “contrevient à l'esprit de la loi de 1881 sur la liberté de la presse”.
L'élu du Rassemblement national a créé la polémique vendredi 11 octobre en apostrophant violemment, en pleine séance du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, une femme portant le voile qui accompagnait une sortie scolaire.
Invité à débattre sur le port du voile dans l'espace public sur LCI, le directeur adjoint de la rédaction du “Figaro” a tenu des propos véhéments envers les musulmans.
Projetée lors d'un événement organisé par ses partisans en vue de la campagne de 2020, la vidéo fait scandale. Plusieurs médias insistent pour que la Maison Blanche condamne ce clip.
Ce 14 octobre, les personnels de l'Université de Cergy ont reçu un “appel à vigilance” par mail, avec un formulaire à remplir pour dénoncer des prétendus “signaux faibles” de radicalisation.