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Chez ce vieux gangster latino à la voix de stentor, croisé un matin à Williamsburg, Brooklyn, New York, à la frontière du quartier juif hassidique et des ateliers des barbus à pignon fixe, près de Marcy Avenue et son métro aérien. Sur ses épaules, un T-shirt à l’effigie du rappeur français Booba siglé Unkut, sa marque. “C’est un ami qui me l’a donné, et je ne connais pas ce type”, explique-t-il timidement après avoir fait comprendre qu’il ne parlait pas un mot d’anglais et n’en dirait pas davantage. F. C.
Dans cette boîte de pompes Nike qui a toute d’une fausse mais est complètement vraie. Abritant une paire de baskets dessinées par l’artiste plasticien Tom Sachs pour le géant américain (la collab s’appelle Tom Sachs Space Program 2.0), elle s’inscrit, à son niveau, dans la réjouissante tendance “fake” (les sweats Kenzo cheapos, les T-shirts de marque avec faute d’orthographe…) dont nous vous parlions récemment.
Dans l’imprimé bandana Parmi la pléthore d’imprimés sur le marché cette saison (l’aloha, le Liberty, les pois…), l’imprimé bandana (dites “paisley” pour briller) est l’un des plus recommandés. A condition de savoir s’y prendre. Comme le montre ce mannequin arborant la nouvelle collaboration entre Adidas et Opening Ceremony, l’enjeu est d’aborder l’imprimé partout, sauf sur un bandana classique.
Laurent Laporte et Marc Beaugé
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