C’est à se demander quand le calvaire de Vanessa Burggraf prendra fin. La chroniqueuse d’On n’est pas couché a une nouvelle fois été renvoyée dans ses 22 mètres par un invité, cette fois Ségolène Royal. Samedi 3 juin, alors que la chroniqueuse interviewait l’ancienne ministre sur la loi de confiance de la vie démocratique initiée par François […]
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
C’est à se demander quand le calvaire de Vanessa Burggraf prendra fin. La chroniqueuse d’On n’est pas couché a une nouvelle fois été renvoyée dans ses 22 mètres par un invité, cette fois Ségolène Royal. Samedi 3 juin, alors que la chroniqueuse interviewait l’ancienne ministre sur la loi de confiance de la vie démocratique initiée par François Bayrou, elle a fait référence à l’interdiction des emplois familiaux. Elle précise ensuite: « Vous même, vous avez travaillé avec votre fils aussi », faisant référence à Thomas Hollande, qui avait travaillé sur la campagne 2007…
Mais bénévolement, rappelle Mme Royal, expliquant : « Absolument pas ! Mon fils a fait ça bénévolement et ça m’aurait choqué, même eux ça les aurait choqués, d’être financés sur des fonds publics. (…) Il s’agit d’argent public, de contrat fait par un parlementaire ou un maire pour un de ses enfants ou son conjoint. Bien sûr que ça me choque. Je n’ai jamais fait ça même pendant une campagne électorale, où c’est l’argent d’un parti. Mon fils n’a pas eu un euro de cette campagne électorale».
{"type":"Banniere-Basse"}