Jour après jour, les langues se délient et c’est tant mieux. Invité sur le plateau d’On n’est pas couché, samedi 11 juin, Cécilé Duflot a été interrogée sur l’affaire Denis Baupin par Léa Salamé et Laurent Ruquier. L’ex-patronne d’EE-LV a dévoilé pourquoi il avait été impossible de parler de harcèlement au sein du parti, avant […]
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Jour après jour, les langues se délient et c’est tant mieux. Invité sur le plateau d’On n’est pas couché, samedi 11 juin, Cécilé Duflot a été interrogée sur l’affaire Denis Baupin par Léa Salamé et Laurent Ruquier.
L’ex-patronne d’EE-LV a dévoilé pourquoi il avait été impossible de parler de harcèlement au sein du parti, avant que n’éclate l’affaire Baupin, expliquant qu’elle avait entendu « des bruits, des rumeurs, des indiscrétions, jusqu’à ce que Sandrine Rousseau [lui] a raconté, en 2014, précisément ce qui lui était arrivé. » Elle a expliqué n’avoir rien fait car la stratégie en ce moment de Denis Baupin « est de salir » ces femmes, selon l’ancienne ministre du Logement. « Il y a beaucoup à perdre quand on parle », a-t-elle sobrement résumée, visiblement très touchée.
L’ancienne ministre a dénoncé la chape de plomb qui pèse sur les femmes victimes de harcèlement. Interrogée sur sa propre personne à plusieurs reprises sur le fait qu’elle ait été, elle-même, harcelée par Denis Baupin, Cécile Duflot, dans un silence assez lourd de sens, a expliqué qu’elle avait dit ce qu’elle avait à dire à la police « concernant Denis Baupin ».
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