Anne Hidalgo persiste et signe. Malgré les vives controverses suscitées par la piétonnisation des quais de Seine de la rive droite, surtout de la part de l’opposition de la région Ile-de-France présidée par Valérie Pécresse (Les Républicains), la maire de paris continue la lutte pour rendre la ville aux piétons et aux vélos et favoriser […]
Anne Hidalgo persiste et signe. Malgré les vives controverses suscitées par la piétonnisation des quais de Seine de la rive droite, surtout de la part de l’opposition de la région Ile-de-France présidée par Valérie Pécresse (Les Républicains), la maire de paris continue la lutte pour rendre la ville aux piétons et aux vélos et favoriser les “circulations douces”. Elle affirme ”assumer complètement la diminution significative du trafic automobile, comme le font toutes les grandes villes du monde”.
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Pour les générations futures
Le nouveau plan dévoilé par Le Journal du dimanche du 8 janvier repose sur trois grands axes :
– Un tram-bus électrique sur les quais hauts de la Seine rive droite. « dès septembre 2018 », en site propre, dans les deux sens, entre l’Hôtel de Ville et le parc de Saint-Cloud. Cette nouvelle ligne de bus à haut niveau de service (BHNS) sera baptisée « tramway olympique » (un peu de pub pour la candidature aux JO de 2024).
– La fermeture à la circulation des quais hauts entre la Concorde et le pont Royal, le long du jardin des Tuileries, à l’exception de ce futur tram, la circulation sera réservée aux piétons et aux vélos.
– Une piste cyclable bidirectionnelle sur la rue de Rivoli de la Concorde à la Bastille. Elle pourrait passer en double sens le long du jardin des Tuileries, en raison de l’interdiction totale aux voitures entre la Concorde et le pont Royal.
Cette politique de lutte contre la voiture et ses nuisances continue à provoquer de virulentes oppositions mais Anne Hidalgo reste ferme : « Face au fléau de la pollution, j’assume ma responsabilité et j’agis pour les générations futures. »
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