La DGSE, les services secrets français, affirme avoir identifié un des trois kamikazes qui se sont fait exploser au Stade de France, le 13 novembre 2015, donnant le coup d’envoi au carnage des attentats du Bataclan et des cafés parisiens. Soufflé par sa propre bombe, le terroriste n’était connu jusqu’alors que par un faux passeport […]
La DGSE, les services secrets français, affirme avoir identifié un des trois kamikazes qui se sont fait exploser au Stade de France, le 13 novembre 2015, donnant le coup d’envoi au carnage des attentats du Bataclan et des cafés parisiens.
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Soufflé par sa propre bombe, le terroriste n’était connu jusqu’alors que par un faux passeport syrien retrouvé déchiqueté sur les lieux. C’est grâce à ce document qui a permis à son usager de parvenir jusqu’en Europe en se glissant sur un bateau de réfugiés jusqu’à l’île grecque de Léros le 3 octobre 2015 que la DGSE a pu l’identifier.
4 700 € et un troupeau de moutons
Il s’agirait d’un jeune Irakien nommé Ammar Ramadan Mansour Mohamad al Sabaawi. Sa famille, qui vit dans un village, aurait été “dédommagée » par l’Etat islamique qui lui aurait offert l’équivalent de 4 700 € ainsi qu’un cheptel d’ovins. Elle ignorerait l’action réelle de son fils, l’EI lui ayant affirmé que celui-ci aurait disparu en martyr à Bagdad.
Après ce jeune Irakien et le Français Bilal Hadfi, résidant à Bruxelles, il reste encore un kamikaze encore non identifié.
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