L’histoire d’une renaissance. C’est ce que prédit le site Wired à propos des Google Glass. Le 19 janvier dernier, l’entreprise américaine annonçait l’arrêt des ventes de ses lunettes connectées. Constat d’échec pour certains, reprise en main pour Wired. Le projet a en effet été retiré aux laboratoires Google X et confié aux mains expertes de […]
L’histoire d’une renaissance. C’est ce que prédit le site Wired à propos des Google Glass. Le 19 janvier dernier, l’entreprise américaine annonçait l’arrêt des ventes de ses lunettes connectées. Constat d’échec pour certains, reprise en main pour Wired. Le projet a en effet été retiré aux laboratoires Google X et confié aux mains expertes de Tony Fadell, considéré comme le père de l’Ipod et cofondateur, avec Matt Rogers, de la compagnie Nest, rachetée par Google pour la modique somme de 3,2 milliards de dollars.
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Outre le professionnalisme de Fadell qui, selon des sources citées par le New York Times, « ne mettra pas sur le marché un produit s’il n’est pas parfait » et ne se risquera pas à l’expérimentation à grande échelle comme l’a fait Google avec la précédente version, Google Glass a tout le soutien des scientifiques. Ainsi, Wired cite Ned Sahin, fondateur de Brain Power, société qui conçoit des logiciels à destination des lunettes connectées pour aider les enfants autistes. Selon lui, les Google Glass sont encore ce qui se fait de mieux en matière de lunettes connectées.
Wired évoque également les avancées considérables que pourraient représenter les Google Glass pour les chirurgiens et pour la médecine en général. En bref, Google doit d’abord développer son outil pour les entreprises spécialisées avant de penser aux Google Glass comme un accessoire tendance accessible au commun des mortels. Avec Tony Fadell aux manettes, il paraît évident que le géant américain vise tout de même les deux marchés. Mais du succès dans l’un dépendra sans doute le succès dans l’autre.
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