“Un petit malaise“. Voilà ce qui est arrivé à Nicolas Hulot, causant son départ soudain de l’Assemblée Nationale, à en croire la présidente de la commission du Développement durable Barbara Pompili. Lors de cette audition du 25 juillet, le ministre de la Transition écologique et solidaire a demandé “l’indulgence” de la commission, soit “cinq minutes de […]
Une audition de Nicolas Hulot suspendue en raison d’un « malaise »
« Un petit malaise« . Voilà ce qui est arrivé à Nicolas Hulot, causant son départ soudain de l’Assemblée Nationale, à en croire la présidente de la commission du Développement durable Barbara Pompili. Lors de cette audition du 25 juillet, le ministre de la Transition écologique et solidaire a demandé « l’indulgence » de la commission, soit « cinq minutes de pause« . Il prétextait avoir « un peu de fièvre« . En attendant le bon rétablissement de l’écologiste, l’audition a été repoussée « à une date ultérieure« .
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Moins anodin qu’il n’y parait, ce « petit malaise » ponctue une suite d’incidents de séance. A l’Assemblée Nationale, les houleux débats portant sur la loi de moralisation de la vie publique ont remué les estrades ce même 25 juillet, quitte à virer au capharnaüm. Députés de l’opposition et du MoDem fustigent le comportement et le manque d’expérience des nouveaux élus « en marche« . Vice Présidente du mouvement LREM et Présidente de la séance, Carole Bureau-Bonnard a fait l’objet de vives critiques, accusée de brimer le temps de parole des Insoumis, socialistes et Républicains. Le président de l’Assemblée François de Rugy a finalement rétabli l’ordre. On l’aura compris, plus encore que les discussions à couteaux tirés, ce sont les malaises qui se succèdent à l’Assemblée Nationale…
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