Mercredi, dans le procès en appel sur la mort de Michaël Jackson, un juge californien a confirmé les charges pesant sur le docteur Conrad Murray. La justice considère, comme en première instance, qu’il s’agit bien d’un “homicide involontaire”. Selon le Washington Post, la décision judiciaire de 68 pages explique qu’il y a suffisamment de preuves substantielles pour considérer […]
Mercredi, dans le procès en appel sur la mort de Michaël Jackson, un juge californien a confirmé les charges pesant sur le docteur Conrad Murray. La justice considère, comme en première instance, qu’il s’agit bien d’un « homicide involontaire ». Selon le Washington Post, la décision judiciaire de 68 pages explique qu’il y a suffisamment de preuves substantielles pour considérer que le docteur Murray a administré une dose létale de Propofol (un anesthésiant de courte durée) à la star planétaire.
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Le juge avait prononcé la sentence maximale pour un homicide involontaire : quatre ans de prison. Mais après deux ans derrière les barreaux, le docteur Murray a bénéficié d’un plan visant à réduire la surpopulation carcérale. Il est libre depuis octobre dernier.
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