Si le court-métrage est souvent la première graine semée d’une oeuvre de cinéaste et d’un parcours d’artiste, il constitue également une forme pleine de possibilités narratives et formelles, propice à l’expérimentation et au risque. Du 28 novembre au 3 décembre, la 34e édition du Festival Tous Courts fera déferler sur Aix-en-Provence les courts-métrages du monde […]
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Si le court-métrage est souvent la première graine semée d’une oeuvre de cinéaste et d’un parcours d’artiste, il constitue également une forme pleine de possibilités narratives et formelles, propice à l’expérimentation et au risque. Du 28 novembre au 3 décembre, la 34e édition du Festival Tous Courts fera déferler sur Aix-en-Provence les courts-métrages du monde entier en une grande fête d’images et de sons, de visages et de récits.
Le festivalier curieux aura l’embarra du choix devant les foisonnantes et alléchantes sélections internationale et expérimentale, qui le feront voyager des Etats-Unis à l’Égypte et du Danemark au Japon. Une Nuit du Court sera consacrée au road movie (car l’humilité du format permet également d’embrasser les espaces et les mouvements les plus vastes), et la SNCF organisera une soirée du polar qui ravira les amateurs du genre. Arte présentera deux moyens-métrages qui s’attachent à dépeindre les fantômes de la guerre, et un programme spécial posera la question de la représentation des migrations au cinéma.
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