Après l’avoir eu dans son viseur un petit bout de temps, le Défenseur des droits vient d’ouvrir une enquête sur la marque de vêtements Abercrombie. Cette dernière, connue pour employer des vendeurs torse nu au physique de boys band, est – très fortement – soupçonnée d’embaucher sur des critères de beauté. Au delà des rares cas qui arrivent […]
Après l’avoir eu dans son viseur un petit bout de temps, le Défenseur des droits vient d’ouvrir une enquête sur la marque de vêtements Abercrombie. Cette dernière, connue pour employer des vendeurs torse nu au physique de boys band, est – très fortement – soupçonnée d’embaucher sur des critères de beauté.
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Au delà des rares cas qui arrivent devant la justice, un article de Mediapart (payant) s’intéresse à la discrimination qui touche les gens « moches ». Comprendre, de façon éminemment subjective en fonction de l’époque, du lieu et du milieu social : « personnes jugées laides, petites ou grosses par la majorité du groupe dans lequel elles évoluent ».
Les moches seraient, selon certaines études scientifiques, moins recrutés et moins rémunérés que la moyenne. A noter qu’en France, exception culturelle oblige, le phénomène apparaît dans la loi où « l’apparence physique » est inscrite comme facteur de discrimination.
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