Le « Department of Corrections » californien et Facebook se sont mis d’accord pour supprimer les comptes des détenus qui utilisent des réseaux sociaux depuis leurs cellules, grâce à des téléphones portables passés en prison.
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Sans fournir de chiffres, les services pénitentiaires ont remarqué que des prisonniers postaient des photos et parlaient de leurs conditions d’enfermement. Mais certains iraient jusqu’à mettre en place de futurs méfaits, ou contacter leurs victimes.
Facebook envisage de désactiver les comptes de détenus, même si ce sont des membres de leur famille qui alimentent leur profil de l’extérieur. Les associations de victimes se félicitent de cette annonce, celles qui défendent les droits des prisonniers jugent le projet contraire à la liberté d’expression.
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