Le site internet Wired a compté le nombre de changements de plans (ou cuts) par minute pour des bandes-annonces de films (choisis d’après leur succès, leur prix à Cannes, ou par simple préférence) allant de 1935 jusqu’à aujourd’hui. Le résultat : une augmentation significative, tous genres confondus. Wired l’explique de deux façons. D’une part, au début […]
Le site internet Wired a compté le nombre de changements de plans (ou cuts) par minute pour des bandes-annonces de films (choisis d’après leur succès, leur prix à Cannes, ou par simple préférence) allant de 1935 jusqu’à aujourd’hui.
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Le résultat : une augmentation significative, tous genres confondus. Wired l’explique de deux façons. D’une part, au début des années 90 est arrivé l’édition numérique, bien plus simple que l’édition manuelle. Celle-ci a donné plus de matière aux monteurs afin de s’exprimer. Mais d’autre part, les monteurs ont cherché a insérer le plus d’images possibles, dans un laps de temps assez court (notamment pour les films d’action) afin de capter pleinement l’attention du spectateur.
On notera que la bande-annonce de Dr. Folamour (de Stanley Kubrick) arrive à 136 cuts par minute, une référence artistique et technique dans le milieu.
On vous conseille également Les bandes-annonces au cinéma, une vidéo de l’émission Blow Up de Arté.
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